Annexe I Le FrameworkPour ses réalisations, l’équipe a développé un framework sur lequel s’appuient tous les sites développés. Un framework est un cadre de programmation, visant à homogénéiser le développement d'applications au sein d'une entité. Le champ d'action du framework SIT/SI/IN couvre les domaines suivants :
1. Spectre d’utilisation du frameworkLe framework SIT/SI/IN a un spectre d'utilisation assez large. Il permet d'avoir une architecture à la fois physique (organisation des fichiers) et logique (structure des sites à six niveaux) identique pour tous les sites développés. Il permet aussi de gérer les droits d'accès aux modules et aux sites en fonction de la ressource (utilisateur ou autre application). La modification du contenu éditorial par la Maîtrise d'Ouvrage est totalement intégrée dans le framework. Le framework offre aux développeurs un « toolkit » intégré, composé entre autres de modules de gestion des news, d’authentification LDAP (Lightweight Directory Access Protocol), de gestion de documents etc. Les livraisons du produit sur les serveurs au stade suivant du développement (développement, qualification, pré-production et production) sont aussi assurées au moyen du framework. Enfin, la réutilisation de modules déjà développés pour d'autres sites est facilitée. 2. Avantages et axes d'améliorationLe premier avantage du framework est sa capacité d’évolution rapide par rapport aux besoins. Son architecture a été conçue de sorte à pouvoir être aisément modifiable, en particulier à l’aide des fonctionnalités objet. Ensuite, son déploiement est simple, et il est immédiatement opérationnel. L’ensemble {sites développés, modules, framework} est relativement efficace et rapide. L’utilisation du framework permet une bonne indépendance technique (multi-bases, multi-plateformes, etc.). Par exemple, les accès aux bases de données ont été rendus transparents pour l’utilisateur du framework, et le développeur n’a plus à se soucier des spécifications techniques de la base qu’il consulte. Le framework est aussi un support commun à la maîtrise d’ouvrage (MOA) et à la maîtrise d’œuvre (MOE). Il permet ainsi une meilleure communication entre MOA et MOE. La MOE maîtrise particulièrement les aspects techniques du framework, alors que la MOA en a assimilé les concepts fonctionnels. Le framework se base en partie sur des logiciels provenant de la communauté « Open Source ». Il peut ainsi bénéficier de la richesse des ressources disponibles sous licence libre. Les performances de l’ensemble des sites développés sont liées aux performances du framework. Une bonne maîtrise du framework permettra de l’optimiser au mieux et d’en faire bénéficier l’ensemble des sites. Dans un premier temps, le framework avait été développé en java. Il était alors très lent, et beaucoup trop lourd. Ses concepteurs ont alors décidé de se tourner vers PHP qui leur procurait des performances bien supérieures à java, ainsi qu’une plus grande facilité de développement. Cependant, le framework n’est pas parfait. La période d'adaptation nécessaire des développeurs pour assimiler les concepts est relativement longue, pour appréhender le framework dans sa globalité. Cette période peut être considérablement réduite par une meilleure formalisation des méthodes de développement. Ensuite, la structure des sites est trop rigide, ce qui provient de l’utilisation même du framework. Un des buts du framework était de fournir une possibilité de modification simple du contenu éditorial du site à la MOA. Cet objectif a été atteint, mais au détriment des possibilités de modification qui sont encore très limitées. Enfin, le développement en général souffre d’un manque de normalisation des sites développés ainsi que d’un manque de normalisation des différents environnements. Annexe II Environnement de développement1. Architecture physiqueCommençons par décrire l’environnement matériel de développement. Chaque développeur possède sa propre machine. Par contre, les développements s’effectuent sur des machines dédiées. Ces dernières sont regroupées sous 5 catégories. Les machines dites de pré-développement sont celles utilisées par les développeurs pour les premiers tests qu’ils effectuent sur les modules développés. Ces machines sont laissées sous le contrôle unique des développeurs, et la modification de ces machines n’a pas d’incidence sur le processus de développement global de l’équipe. Viennent ensuite les machines dites de développement. Celles-ci sont gérées par un service distinct du service étude et développement. Leur contenu est donc plus sensible que les machines de pré-développement. Ces machines sont utilisées pour les tests des modules au sein de l’application globale, afin d’en tester les fonctionnalités. Jusqu’à présent, seule la MOE a accès aux applications développées sur ces machines. La MOA intervient sur les machines de qualification. Ceci lui permet d’effectuer ses tests sur des applications « stables » qui ne sont pas modifiées en permanence par les développeurs. Ces derniers peuvent continuer leur développement sur les machines de développement, sans interférer avec les tests de la MOA. Enfin, le dernier niveau de l’architecture concerne la mise en production des applications. Les niveaux de pré-production et de production sont séparés car SITS fait appel à un prestataire d’hébergement externe (MGN) pour accueillir ses sites externes (internet), et souhaite garder en permanence une copie de la version de production en local par mesure de sécurité. La pré-production fait ainsi office de miroir local des données de production. Le passage d’un niveau au niveau suivant est validé par un responsable MOA/MOE. 2. Logiciels et technologies utilisésLa gamme logicielle utilisée n’a pas encore été homogénéisée. Chaque développeur est libre d’utiliser les éditeurs et autres interfaces de développement qu’il préfère. Un accent sera mis dans les mois qui viennent pour normaliser l’utilisation de logiciels de développement au sein de l’équipe. Citons quand même quelques logiciels plus utilisés que d’autres au sein de l’équipe : Ultraedit (de IDM Computer Solutions) ou Vim pour l’édition, LDAP Administrator pour la consultation en développement des bases LDAP, WISQL (de Sybase) pour la consultation des bases Sybase, Mozilla et Internet Explorer en tant que navigateurs internet, et WinCVS pour la consultation du serveur CVS. Les technologies utilisées sont naturellement plus homogènes, puisque tous les développeurs utilisent le « framework ». Le langage de programmation retenu est PHP pour des raisons de performances et de simplicité. L’annuaire d’entreprise LDAP est progressivement intégré au système d’information, afin de combler certaines lacunes de Lotus Notes (dont la difficulté à interfacer un logiciel développé avec les annuaires Notes). 3. Le suivi de la relation MOE/MOA : MantisMantis est un système de suivi d’anomalies (ou erreurs) de programmation basé sur une architecture web. Son principe de fonctionnement est simple : des utilisateurs vont tester le logiciel (ou le site) nouvellement développé, et dès qu’ils rencontrent une anomalie, ils peuvent la signaler dans Mantis. Les développeurs prennent alors connaissance de l’anomalie, et peuvent ainsi la traiter librement. Les utilisateurs de Mantis sont regroupés en quatre catégories : les administrateurs (ils ont tous les droits sur leur projet, et vérifient l’intégrité des traitements effectués sur leur Mantis) ; les développeurs (ce sont eux qui prennent en charge les traitements spécifiques aux anomalies) ; les rapporteurs (ils testent le logiciel, et notifient en cas de problème) et les « lecteurs », qui n’ont qu’un droit de regard sur le Mantis. Dans l’implémentation réalisée à SITS, les quatre catégories d’utilisateurs énoncées précédemment sont utilisées, et la notion de « bug » a été étendue aux anomalies, aux évolutions et aux questions éventuelles. Ces ajouts permettent une extension intéressante de l’implémentation Mantis de base, car ils permettent un dialogue plus formel entre la maîtrise d’œuvre et la maîtrise d’ouvrage. Ainsi, le Mantis peut intervenir à deux niveaux de la vie d’un projet : lors de la phase de développement, et lors de la phase de « maintenance corrective ». Enfin Mantis dispose d’un outil statistique fournissant plusieurs graphiques, dont en particulier le rapport anomalies/évolutions qui est caractéristique d’un projet. L’expérience a montré que les « bons » projets avaient un rapport équilibré entre les anomalies et les évolutions. Si le nombre d’anomalies dépasse le nombre d’évolutions souhaitées, cela peut signifier que la qualité du code des développeurs laisse à désirer. A l’inverse, un nombre de demandes d’évolution trop important peut signifier que la phase de conception initiale du projet a été trop rapidement achevée. Mantis est un logiciel sous licence GPL, c’est à dire libre de droit et dont on peut à loisir modifier le code. Mantis a été développé en PHP et repose sur une base de données MySQL. 4. Les préconisations de développementPour homogénéiser ses développements, l’équipe a émis le besoin de rédiger des normes de codage. A cet effet, des réunions ont été organisées mensuellement pour débattre de ces standards de l’équipe. Ces réunions ont permis de montrer que les développeurs sont en général très attachés à une manière de programmer et qu’il est particulièrement difficile de changer ses habitudes. Cependant, une norme a été établie. Signalons toutefois que l’essentiel de cette norme repose sur les préconisations de PEAR. (pour plus d’informations, consulter le site : http://pear.php.net/manual/fr/standards.php). Voici la norme telle qu’elle a été établie : 4.1. CommentairesLes commentaires se font en français /** /**
Méthode de classe : /** function get_foo($fii, $fee, $foo) {
Fonction locale /** function foo_example($foo, $conf) { // Voici un commentaire mono-ligne /*
4.2. IndentationUne tabulation représente 4 espaces vim :
4.3. NommageLes nommages se font en anglais Variable statique: STATIC_VARIABLE
4.4. Accolades, parenthèses et espaces.
5. La charte des projets informatiquesA la demande de CA-AM la société Bearing Point ( anciennement Arthur Andersen Consulting ) est venue auditer la manière dont les projets informatiques se déroulaient. A l’issue de l’audit un document a été produit résumant les préconisations de développement du cabinet de « consulting » : la charte des projets informatiques. Nous en ferons un rapide descriptif dans cette partie. La charte commence avec une description précise des rôles des différents intervenants d’un projet internet. Elle délimite clairement les tâches de la maîtrise d’œuvre d’une part, et de la maîtrise d’ouvrage d’autre part. Elle définit aussi le rôle du Comité de Pilotage du projet. Ensuite, l’ensemble du processus de réalisation d’un site est détaillé. Les différentes phases sont : l’analyse, la mise en œuvre et l’exploitation. Pour chacune de ces phases plusieurs documents sont produits avec pour objectif d’améliorer le dialogue entre la MOA et la MOE. Annexe III Exemple d'appel d'offres
Dans le cadre de ses projets informatiques relatifs aux applications web, le service SIT/SI de SITS recherche, pour une mission d’environ 6 mois, un ingénieur informaticien ayant une très bonne connaissance des environnements apache/php/bases de données.
Ingénieur développeur PHP/SQL Les candidats proposés devront impérativement faire partie du personnel de la société qui les présente ACTIONS A MENER (dans une équipe de 8 personnes)
PROFIL SOUHAITE
COMPETENCES REQUISES
ENVIRONNEMENT TECHNIQUE
REPONSE ATTENDUE AVANT LE : 04 avril 2003 DEBUT DE LA MISSION : 14 avril 2003 LIEU D'EXECUTION DES PRESTATIONS : Paris 15ème. PERSONNES A CONTACTER :
Annexe IV Les GIE dans le droit français1. Art. L. 251-1.Deux ou plusieurs personnes physiques ou morales peuvent constituer entre elles un groupement d'intérêt économique pour une durée déterminée. Le but du groupement est de faciliter ou de développer l'activité économique de ses membres, d'améliorer ou d'accroître les résultats de cette activité. Il n'est pas de réaliser des bénéfices pour lui-même. Son activité doit se rattacher à l'activité économique de ses membres et ne peut avoir qu'un caractère auxiliaire par rapport à celle-ci. 2. Art. L. 251-3.Le groupement d'intérêt économique peut être constitué sans capital. Les droits de ses membres ne peuvent être représentés par des titres négociables. Toute clause contraire est réputée non écrite. 3. Art. L. 251-4.Le groupement d'intérêt économique jouit de la personnalité morale et de la pleine capacité à dater de son immatriculation au registre du commerce et des sociétés, sans que cette immatriculation emporte présomption de commercialité du groupement. Le groupement d'intérêt économique dont l'objet est commercial peut faire de manière habituelle et à titre principal tous actes de commerce pour son propre compte. Il peut être titulaire d'un bail commercial. Les personnes qui ont agi au nom d'un groupement d'intérêt économique en formation avant qu'il ait acquis la jouissance de la personnalité morale sont tenues, solidairement et indéfiniment, des actes ainsi accomplis, à moins que le groupement, après avoir été régulièrement constitué et immatriculé, ne reprenne les engagements souscrits. Ces engagements sont alors réputés avoir été souscrits dès l'origine par le groupement. 4. Art. L. 251-8.I. Le contrat de groupement d'intérêt économique détermine l'organisation du groupement, sous réserve des dispositions du présent chapitre. Il est établi par écrit et publié selon les modalités fixées par décret en Conseil d'Etat. II. Le contrat contient notamment les indications suivantes :
III. Toutes les modifications du contrat sont établies et publiées dans les mêmes conditions que le contrat lui-même. Elles ne sont opposables aux tiers qu'à dater de cette publicité. 5. Art. L. 251-10.L'assemblée des membres du groupement est habilitée à prendre toute décision, y compris de dissolution anticipée ou de prorogation, dans les conditions déterminées par le contrat. Celui-ci peut prévoir que toutes les décisions ou certaines d'entre elles seront prises aux conditions de quorum et de majorité qu'il fixe. Dans le silence du contrat, les décisions sont prises à l'unanimité. Le contrat peut aussi attribuer à chaque membre un nombre de voix différent de celui attribué aux autres. A défaut, chaque membre dispose d'une voix. L'assemblée est obligatoirement réunie à la demande d'un quart au moins des membres du groupement. 6. Art. L. 251-11.Le groupement est administré par une ou plusieurs personnes. Une personne morale peut être nommée administrateur du groupement sous réserve qu'elle désigne un représentant permanent, qui encourt les mêmes responsabilités civile et pénale que s'il était administrateur en son nom propre. Le ou les administrateurs du groupement, et le représentant permanent de la personne morale nommée administrateur sont responsables individuellement ou solidairement selon le cas, envers le groupement ou envers les tiers, des infractions aux dispositions législatives et réglementaires applicables aux groupements, de la violation des statuts du groupement, ainsi que de leurs fautes de gestion. Si plusieurs administrateurs ont coopéré aux même faits, le tribunal détermine la part contributive de chacun dans la réparation du dommage. Sous cette réserve, le contrat de groupement ou, à défaut, l'assemblée des membres organise librement l'administration du groupement et nomme les administrateurs dont il détermine les attributions, les pouvoirs et les conditions de révocation. Dans les rapports avec les tiers, un administrateur engage le groupement par tout acte entrant dans l'objet de celui-ci. Toute limitation de pouvoirs est inopposable aux tiers. 7. Art. L. 251-17.Les actes et documents émanant du groupement et destinés aux tiers, notamment les lettres, factures, annonces et publications diverses, doivent indiquer lisiblement la dénomination du groupement suivie des mots : " groupement d'intérêt économique " ou du sigle : " GIE ". Toute infraction aux dispositions de l'alinéa ci-dessus est punie d'une amende de 25.000 F. 8. Art. L. 251-19.Le groupement d'intérêt économique est dissous :
9. ART. L. 251-23.L'appellation " groupement d'intérêt économique " et le sigle " GIE " ne peuvent être utilisés que par les groupements soumis aux dispositions du présent chapitre. L'emploi illicite de cette appellation, de ce sigle ou de toute expression de nature à prêter à confusion avec ceux-ci est puni d'un emprisonnement de un an et d'une amende de 40.000 F. Le tribunal peut, en outre, ordonner la publication du jugement, aux frais du condamné, dans trois journaux au maximum et son affichage dans les conditions prévues à l'article 131-35 du code pénal. Annexe V Documentation utilisateur sur le module d'appel d'offres1. Du passage d'un appel d'offresUn appel d’offre peut se résumer à un processus en 4 étapes :
L’application permet de réaliser ces étapes par l’intermédiaire de ses modules :
2. Principe généralLa marche à suivre est la suivante :
Le système envoie alors l’appel d’offres nouvellement créé. Les sociétés contactées répondent par mail à un ou aux deux contacts définis dans l’appel d’offres. Ceux-ci reprennent le processus qui consiste à :
3. ÉcransOutre les modules liés au processus lui-même, l’application dispose de modules « périphériques » pour la gestion de l’application. 3.1. ContactsCe module permet de gérer sa liste de contacts. C’est cette liste qui est utilisée pour sélectionner les destinataire d’un appel d’offres et pour l’envoyer ; elle est donc très importante. L’écran principal présente la liste des contacts déjà renseignés, accompagnés de contrôles :
Les informations présentées dans la liste peuvent être choisies via les Préférences. La liste est aussi pourvue de flèches de défilement pour le parcours d’une longue liste. Les autres fonctionnalités de cet écran sont :
3.1.1. AjoutLe formulaire d’ajout, qui sert également à la modification, comporte six champs, dont les trois premiers sont obligatoires :
3.1.2. ImportUn premier formulaire demande tout d’abord de fournir le fichier à importer, un bouton « parcourir » (ou « browse ») permet de choisir le fichier facilement. L’organisation des colonnes du fichier est fournie au-dessus, à savoir :
Le fichier ne doit pas commencer par une ligne vide, les trois premiers champs sont nécessaires pour reconnaître une ligne valide. Le groupe doit être un numéro (le numéro d’ordre visible dans la liste des groupes dans le module « Préférences ») ou un libellé de groupe existant. La validation du formulaire envoie le fichier à l’application. Si celui-ci est valide, une liste des contacts détectés est présentée, afin de choisir les contacts à importer. Si des contacts semblent déjà avoir été enregistrés (adresse e-mail identiques), ils apparaissent en rouge. Si des contacts semblent en double au sein du fichier, ils apparaissent en italique. Tous les doublons apparaissent en fin de liste, et aucun n’est sélectionné par défaut. Une fois les contacts à importer choisis, un clic sur le bouton « Ajouter » les inscrira dans le carnet d’adresses. 3.2. Nouvel appel d’offresCe module permet la création et l ‘envoi d’un appel d’offres. Il est constitué de trois écrans successifs. 3.2.1. Constitution de l’appel d’offresLe premier écran permet la construction de l’appel d’offres ; il est constitué d’un long formulaire, divisé en différentes « boites », pour remplir tous les champs de l’appel d’offres.
Au-dessous du formulaire se trouvent :
Un exemple d’appel d’offres est inséré en Annexe III : Exemple d’appel d’offres. 3.2.2. Sélection des destinatairesCet écran permet de choisir les destinataires de l’appel d’offres. Il est constitué de trois boites :
La première affiche la liste des destinataires de l’appel d’offres, et permet d’en retirer avec le bouton Supprimer ( ). Par défaut, tous les contacts présents dans votre groupe « Accords cadres » sont sélectionnés ; vous pouvez bien sûr les retirer. La seconde permet d’afficher un groupe de contact depuis votre carnet d’adresse, voire de celui du « contact » si celui-ci vous a autorisé à accéder à sa liste dans ses Préférences. Pour ce faire, sélectionnez un groupe (ou plusieurs, en maintenant la touche « Ctrl » enfoncée) dans la(les) liste(s), puis cliquez sur le bouton « Ajouter ». La troisième permet de faire la même chose, mais en choisissant individuellement le ou les contact(s) à ajouter dans votre carnet (et celui du « contact » s’il vous y a autorisé). Enfin, cet écran propose trois boutons :
3.2.3. Validation et envoi de l’appel d’offresCet écran récapitule toutes les informations fournies et vous permet d’envoyer le mail. Une boite de texte présente le mail comme il va être envoyé, vous pouvez le modifier. Ensuite les destinataires sont rappelés, et enfin une prévisualisation de l’appel d’offres est affichée. Le lien « Le document en PDF » affiche l’appel d’offres exactement tel qu’il va être envoyé. Cliquer sur le bouton « Retour » permet de revenir en arrière, tandis que cliquer sur le bouton « Envoyer » envoie et valide l’appel d’offres : il apparaît dès lors dans le module « Mes appels d’offres ». 3.3. Mes appels d’offresCe module permet de gérer tous vos appels d’offres en cours, qu’ils soient envoyés ou non. 3.3.1. Liste des appels d’offresCet écran présente la liste de vos appels d’offres. Une première liste contient les appels d’offres qui ont été émis et sont en attente de traitement. Le bouton « Gérer » ( ) permet d’accéder à l’écran « Gestion d’un appel d’offres » pour cet appel d’offre, tandis que le bouton « Visualiser » ( ) permet de le revoir. Une seconde liste affiche les appels d’offres qui n’ont pas encore été envoyés. Le bouton « Gérer » ( ) permet de reprendre l’édition dans l’état où elle avait été laissée, tandis que le bouton « Supprimer » ( ) permet d’abandonner cet appel d’offres. 3.3.2. Gestion d’un appel d’offresCet écran contient quatre boites :
La boite « Statistiques » présente diverses informations sur les réponses de l’appel d’offres en cours, en l’occurrence :
La boite « Réponses en attente » présente la liste des réponses qui n’ont pas été supprimées. Pour chaque réponse reçue sont présentés :
De plus chaque ligne dispose de deux boutons :
Enfin, si la réponse n’a pas été traitée, c’est à dire que l’utilisateur en cours n’a pas encore rempli un seul champ, la marque « » apparaît à la fin de la ligne. La boite « Réponses rejetées » proposes les mêmes informations que la boite « Réponses en attente », mais pour les réponses refusées ou ignorées. Seuls le bouton « Refuser » et le marquer de traitement n’y apparaissent pas. La boite « Contrôles » propose quatre boutons :
3.3.3. Affichage de la réponseCet écran comporte au maximum ces quatre boites :
La boite « Réponse » présente la réponse telle qu’elle est arrivée avec, dans l’ordre : l’expéditeur, la date d’arrivée, le cops du message et les pièces jointes. Si l’expéditeur n’a pu être reconnu, il est marqué « inconnu » et deux options sont proposées : Ajouter ce contact, qui ouvre une fenêtre d’Ajout de contact en utilisant l’adresse d’expédition. Lorsque vous validez la création, la réponse est assignée à ce nouveau contact, Assigner à un contact, qui affiche la liste des contacts de votre carnet d’adresses et vous permet de designer l’expéditeur parmi les contacts de votre liste. Les pièces jointes peuvent être téléchargées en cliquant sur leur nom, et supprimées en cliquant sur le bouton « Supprimer » ( ). La boite « Informations » contiens les informations devant être fournies par les utilisateurs. Cela comprend :
La note et les commentaires attribués par l’autre contacts sont invisibles par défaut, et peuvent êtres révélés en cliquant sur le lien « Afficher », puis cachés à nouveau en cliquant sur le lien « Cacher ». Ils sont aussi en lecture seule. La troisième boite, « Contrôles », varie selon le contexte ; elle apparaît différemment selon le statut de la réponse : « En attente » ou « Refusée ». Elle est d’ailleurs absente dans le cadre d’une réponse à un appel d’offres dans les Archives. Dans le cas d’une réponse « En attente », trois boutons sont présents :
Dans le cas d’une réponse rejetée, un seul bouton est présent : « Repêcher cette réponse » ; il permet d’annuler le rejet, replaçant la réponse dans la liste des réponses en attente. Enfin, la quatrième et dernière boite n’apparaît que pour une réponse en attente, au début du processus. La boite de prise en compte permet de notifier à l’expéditeur la bonne réception de sa réponse. Elle comprend une zone de texte contenant le corps du mail qui lui sera envoyé, ainsi que deux boutons : « Confirmer la réception » et « Ne pas confirmer la réception ». Tous deux passent le statut de la réponse à « Prise en compte » ce qui désactive l’affichage de cette boite, le premier envoyant le message contenu dans la zone de texte à l’expéditeur (Ce message est bien sûr modifiable). 3.3.4. Rapport avancéL’écran « Rapport avancé » sert à présenter de manière graphique les réponses à un appel d’offres. Un exemple de rapport est présenté en Figure 16. Le graphique présente, pour chaque réponse, les quatre informations suivantes :
La barre représentant le prix est inversement proportionnelle à la différence entre le meilleur prix et le prix courant ; c’est à dire que le meilleur prix obtient un score de 100, d’un prix 50% plus élevé obtient un score de 50, qu’un prix 100% plus élevé obtient un score de zéro … La barre représentant la disponibilité est inversement proportionnelle aux jours de retard par rapport à la date de début de mission prévue. Si le prestataire est disponible au jour prévu, la réponse obtient un score de 100, s’il n’est disponible que 10 jours plus tard, elle obtient un score de 90 … Les barres de notes, quant à elles, sont proportionnelles aux notes, si la note est de 20, la barre atteindra 100, si elle n’est que de 10, la barre n’atteindra que 50 … La « Note système » est une note calculée à partir des autres informations. C’est une moyenne pondérée par les choix des utilisateurs, grâce à la boite de réglage apparaissant sous le graphique. Cette boite permet d’affecter un poids, compris entre 1 et 100, à chacune des composante de la « note système ». Il faut cliquer sur le bouton « Envoyer » pour mettre à jour les valeurs, qui sont sauvegardées d’une fois sur l’autre, et le graphique. Cliquer sur un des éléments de la légende trie le graphique par cet élément, alors que cliquer sur une des barres ouvre une fenêtre d’Affichage de la réponse permettant de la modifier. Maintenir le pointeur de la souris immobile au-dessus d’une barre pendant un instant permet d’afficher la valeur numérique réelle représentée, par exemple sur une note de la première réponse de GFI-d on pourra voir : . 3.3.5. Opérations de masseL’écran « Opérations de masse » permet d’appliquer un même traitement à plusieurs réponses à la fois. Deux opérations sont possibles : Refuser et ignorer les réponses sélectionnées. Ces effets sont les même que ceux des contrôles de l’écran « Affichage de la réponse ». Cet écran se compose d’une liste des réponses associées à une case à cocher, et des deux boutons permettant de choisir l’action à effectuer. Il suffit de cocher les réponse auxquelles appliquer l’action et de cliquer sur le bouton correspondant. 3.3.6. Opérations précisesL’écran « Opérations précises » permet d’effectuer des opérations ponctuelles sur une et une seule réponse à la fois. Ces opérations sont les suivantes : Accepter, Refuser, et Ignorer. Il propose la même liste de réponses que l’écran « Opérations de masse » mais avec des boutons radio (permettant un seul choix parmi plusieurs possibilités) à la place des cases à cocher. Le bouton ignorer a le même comportement que dans l’écran « Opérations de masse », mais sur une seule réponse. Le bouton Refuser permet de refuser la réponse, mais à la différence de celui des « Opérations de masse », le mail est personnalisable via l’écran « - Refus personnalisé » et est envoyé dès le clic sur le bouton « Envoyer » plutôt qu’être mis en attente jusqu’à l’acceptation. L’acceptation d’une réponse est l’étape finale du processus d’appel d’offres, permettant de choisir une des réponses et clore l’appel d’offres. Après la sélection de la réponse à accepter, cliquer sur le bouton « Accepter » conduit à la page suivante : Tout d’abord est présentée la réponse sur le point d’être acceptée, l’intégralité des informations sur l’expéditeur est présente, quelles que soient les Préférences à ce sujet. On y trouve aussi le nom du prestataire proposé, le prix de départ et les notes qui lui ont été attribuées (la note de l’émetteur puis la note du contact). Ensuite apparaissent des champs destinés à renseigner les modalités – prix et dates – définitives de la mission. Ces informations seront archivées avec l’appel d’offres. Enfin une boite de texte permet de visualiser et modifier le message de refus qui sera envoyé aux expéditeurs de toutes les réponses refusées (mais pas ignorées) en attente de réponse. Cliquer sur le bouton « Envoyer » refuse toutes les réponses en attente, envoie le mail de refus à tous ses destinataires et clos l’appel d’offres. 3.4. ArchivesLe module archives propose des fonctionnalités équivalentes à celles du module « Mes appels d’offres », à la différence près que les informations présentées ne peuvent en aucun cas être modifiées. 3.4.1. Liste des appels d’offres archivésL’écran principal des archives est la liste des appels d’offres archivés. Il propose une liste des appels d’offres clos auxquels vous pouvez accéder. Le bouton « Détails » ( ) permet d’accéder à l’écran « Détails d’un appel d’offres » pour cet appel d’offre, tandis que le bouton « Visualiser » ( ) permet de le revoir. 3.4.2. Détails d’un appel d’offresCet écran offre trios boites :
3.4.3. Affichage de la réponseCet écran présente les mêmes caractéristiques que l’écran « Affichage de la réponse » du module « Mes appels d’offres », mais le contexte veut que seules deux boites soient présentes : La boite « Réponse » et la boite « Informations ». Referez-vous au chapitre 3.3.3 pour plus de détails. 3.5. PréférencesToutes les préférences sont regroupées sur un écran, constitué de six boites. 3.5.1. Informations à afficher dans votre carnet d'adressesCette boite permet de choisir quelles informations sur les contacts doivent être présentées aux différents endroits où une liste de contacts est présente. Les informations à présenter doivent être sélectionnées grâce à leur case à cocher, puis être validées via le bouton d’envoi. Ces préférences seront utilisées dans toutes les listes de contacts, soit dans les écrans suivants :
3.5.2. Vos groupesCette boite permet de définir les groupes de contacts. Elle propose la liste de vos groupe précédemment définis (seul le groupe « Accords cadres » est défini à la création du compte) ainsi qu’un champ permettant d’en définir d’autres. Les groupes précédemment définis peuvent êtres modifiés en changeant leur libellé puis en cliquant sur le bouton « Modifier » approprié, ou déplacés les uns par rapport aux autres à l’aide des boutons et . Pour supprimer un groupe il suffit d’effacer son libellé puis de valider la modification ; notez qu’il est impossible de supprimer un groupe contenant un(des) utilisateur(s), et qu’il est impossible de modifier le groupe « Accords cadres ». 3.5.3. Renseignez la description de votre posteCette boite permet de renseigner la description accompagnant votre nom sur un appel d’offres. 3.5.4. Administration des entréesCette boite permet de modifier les compétences et profils renseignés dans les divers appels d’offres. Pour ce faire, choisissez une des compétences ou un des profils proposés dans la liste. Son libellé apparaît alors dans le champ de texte disponible au-dessous. Il peut alors être modifié la validation se faisant par le bouton « OK » situé à coté. Un libellé vide entraîne la suppression de la compétence ou du profil sélectionné. Les modifications sont propagées aux appels d’offres déjà émis, il faut donc faire attention à ne pas radicalement changer une entrée sous peine de perdre la pertinence des appels d’offres stockés. 3.5.5. Partage de listeCette boite permet de choisir avec qui partager son carnet d’adresses. Elle propose la liste des utilisateurs enregistrés dans le module, chacun étant accompagné d’une case à cocher. Les utilisateurs sélectionnés auront le droit d’ajouter des contacts en provenance de votre carnet d’adresse lors de l’étape de « Sélection des destinataires » du processus de création d’un appel d’offres, cet accès se faisant en lecture seule. 3.5.6. Modèles de messagesCette boite permet de modifier les modèles de messages à partir desquels sont générés les différents messages à l’intention des contacts. Trois modèles sont disponibles, pour les trois types de mails qui peuvent être envoyés :
Lors de la sélection d’un modèle dans la liste déroulante, un éditeur apparaît, avec le modèle de courrier actuel. Celui-ci peut se voir modifié à loisir, des boutons permettant d’ajouter des « balises » qui seront remplacées par un texte dépendant du contexte au moment de l’envoi du mail. Ces balises sont :
L’insertion de « balises » se fait forcement à la fin du texte, mais elles peuvent être copiées sans risque, ou même écrites directement. 4. L’agent NotesL’agent Notes « RecordMail » n’offre que peu d’interactions avec l’utilisateur. Celui-ci n’a qu’à sélectionner les réponses à intégrer dans l’application et à lancer l’exécution de l’agent. L’agent va alors tenter de déduire l’appel d’offre à partir du sujet du mail, qui devra en contenir la référence, puis de se connecter à la base de données afin d’enregistrer la réponse. Les différentes transactions, notamment l’envoi des pièces jointes, peuvent prendre un peu de temps, une fenêtre décrivant l’avancement du processus est visible pendant ce temps. (Voir la Figure 19 - Rapport d'exécution de l'agent "RecordMail") Dans le cas ou des réponses non conforme seraient traitées, elles seraient purement et simplement ignorées. L’agent ne modifie en rien les mails qu’il traite, et ne peut enregistrer deux fois la même réponse (au contenu près), même par plusieurs utilisateurs différents. Annexe VI Diagramme des classesAnnexe VII L’intranet SITSAu début du stage, trois modules avaient été développés : un module de gestion de la connaissance, un module de gestion des présences et un module de recherches. 1. Le module de gestion de connaissanceCe module est basé sur des « groupes » d’utilisateurs. Ces groupes sont centrés sur des centres d’intérêt plutôt que sur une appartenance hiérarchique. La volonté initiale de créer des groupes fermés a été repoussée par le comité qui souhaiterait au contraire voir des groupes ouverts et accessibles à tous. Un groupe reste quand même sous le contrôle d’un administrateur qui a en charge le bon fonctionnement de son groupe. Chaque groupe aura alors la possibilité de créer trois types de documents : des articles, des liens et des news. Ce module devrait permettre de réunir virtuellement des employés de services distincts, et de partager des informations dans un cadre dépassant l’environnement physique immédiat des employés. 2. Le module de gestion des présencesL’ensemble des services de SITS n’a pas encore adopté de processus commun relativement à la prise de congés. Chaque service fonctionne différemment : certains laissent la secrétaire du service s’en occuper, d’autres passent par un partage de feuilles Excel et d’autres encore remplissent un formulaire papier de demande de congés. L’utilisation par tous de l’intranet pourrait permettre d’harmoniser le processus de demande de congés. Ensuite le planning des congés généré dynamiquement à partir d’une base de données a été présenté. L’appellation du module « Consulter les présences » est du à l’apparition des prestataires de services – qui ne peuvent prendre de congés auprès de SITS - dans le diagramme présenté. Les prestataires, et les stagiaires, ne prennent pas des congés mais des absences, mais le terme « congé » sera utilisé à la suite pour la description. Le diagramme permet aussi une gestion prévisionnelle des congés. Les demandes de congés en attente apparaissent dans le planning. 3. Le module de recherches3.1. ImplantationsLe module permet d’effectuer une recherche sur les implantations du Crédit Agricole à Paris, avec des plans d’accès aux bâtiments, mais aussi des plans internes pour localiser un service ou une personne précise au sein d’un bâtiment. 3.2. AnnuaireLe module est couplé avec l’annuaire LDAP de l’entreprise, afin de pouvoir rechercher une personne, qu’elle appartienne à SITS ou au pôle de gestion d’actifs dans son ensemble, salariée ou prestataire de services. 3.3. Génération dynamique d’organigrammeLe module permet d’afficher dynamiquement l’organigramme de tout ou une partie de SITS, à l’exception des prestataires de service, qui ne font pas à proprement parler partie de l’entreprise. 4. ExemplesLa Figure 20 présente un exemple d’écran de l’intranet SITS, dans le module d’organigramme. Il représente l’intranet tel qu’un prestataire ou un stagiaire peut le voir : le module de gestion des présences ne propose que de prendre une « absence », et le module d’appels d’offres n’est pas présent. La Figure 21 par contre, présente la page d’accueil de l’intranet SITS vu par un employé de SITS – il a la possibilité de prendre des congés – responsable d’un service car il dispose du module d’appels d’offres et de la fonctionnalité de validation des congés. |